Bizutage par des gays à l'internat

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il y a 6 ans

Bizutage par des gays à l'internat

J'étais en terminale, interne dans un nouveau lycée. Le premier soir, je découvre la chambre que l'on m'a assignée. Frédéric est arrivé avant moi et a commencé à déballer ses affaires. Très brun avec un regard noir perçant, des traits fins et des cheveux mi-longs, Fred, finement musclé, est de ma taille. Nous nous présentons. Fred me dit qu'il est aussi nouveau dans ce bahut. Immédiatement, je ressens un bon feeling avec mon roommate. Après avoir rangé nos affaires, Fred me propose de prendre ma douche en premier dans la salle de bain que nous partageons. Je me dépoile et je sens son regard perçant qui m'observe. Après ma douche, je me sèche, mets un caleçon et entre dans la chambre. "La place est libre !" Fred se désappe devant moi et j'en profite pour bien mater son petit cul. Le 4e soir, alors que nous avions pris nos douches et que nous étions tous les deux couchés, vêtus simplement d'un caleçon, quatre mecs débarquent dans la chambre, allument la lumière et nous immobilisent chacun sur notre lit. "C'est la tradition, tous les nouveaux doivent être bizutés ; aujourd'hui c'est votre tour !" ...

Nous sommes tous les deux immobilisés sur nos lits par chacun deux mecs. Fred est mis debout, chaque mec le tenant fermement par les bras. Je suis sur mon lit et retourné sur le ventre. Mes poignets sont attachés dans mon dos. Ils me prennent ensuite sous les aisselles, m'agenouillent devant Fred, ma tête à hauteur de son caleçon, et m'ordonnent : "Enlève lui son caleçon avec les dents !" Je commence à m'exécuter mais la situation a excité Fred qui commence à bander. Sa bite sort de la braguette de son caleçon et vient me caresser le visage. Ça devient difficile de faire glisser son caleçon en tirant simplement sur la ceinture, je suis obligé de coincer sa bite contre son ventre avec mon menton pendant que je tire sur l'élastique vers le haut avec mes dents. Je fais ainsi passer sa bite sous l’élastique de son caleçon que je peux ensuite tirer vers le bas. Fred m'inonde la gueule de precum bien gluant. J'arrive quand même à le mettre à poil. J'ai moi aussi une trique d'enfer.

Changement de rôles : nos bizuteurs attachent les poignets de Fred et l'obligent à s'agenouiller devant moi pour me faire subir le même sort. Fred a plus de mal que moi pour coincer ma bite qui sort bien bandée de la braguette de mon caleçon. Les caresses de son visage sur ma queue et sur mon gland m'excitent au plus haut point et rapidement, je ne peux plus me retenir et j'envoie sept jets de foutre bien épais sur sa petite gueule. Il en a plein sur le visage, sur la bouche et dans les cheveux. Après avoir juté, je débande un peu et il en profite pour baisser mon caleçon. Je me retrouve comme Fred, complètement à poil.

Nos bizuteurs obligent Fred à se relever et nous imposent de nous rouler une pelle après m'avoir fait lécher le visage de Fred pour le nettoyer de mon foutre. Fred aime bien ce contact et se plaque contre moi. Je sens sa bite contre la mienne et ses mains, qui ont été libérées, me caressent le dos et descendent rapidement vers mes fesses. Je fais de même sur le petit cul de Fred. Nos bizuteurs applaudissent et nous invitent à nous allonger sur mon lit....

Ils m'allongent sur le dos et m'attachent poignets et chevilles aux arceaux métalliques, à la tête et au pied du lit. Ils font de même avec Fred, mais en l'allongeant sur moi, sur le ventre, et en lui attachant les poignets au pied du lit et les chevilles à la tête. J'ai la bite de Fred sur le visage et ma queue est au niveau de sa bouche. "Faites-nous un joli 69 maintenant, bizuts." Je n'ai pas vraiment le choix et je suis obligé de sucer la bite de Fred. Ce dernier est cependant retissant à avaler ma queue. Il lève la tête pour éviter que sa petite gueule soit au contact de ma bite. Mal lui en a pris, ça énerve nos bizuteurs. L'un d'eux lui pince le nez pour l'obliger à ouvrir la bouche tandis qu'un autre lui appuie sur la nuque avec b r u t a l i t é pour qu'il avale ma queue. Il n'hésite pas à appuyer fermement pour que ma bite rentre jusqu'au fond de sa gorge. Fred s'étouffe à moitié, mais mon gland est bien au fond, massé par ses spasmes, et il durcit encore plus. Ca m'excite un max et alors même que je le suce bien, je tente de lever mon bassin pour bien lui niquer la gueule profitant de ce que le bizuteur lui enfonce la tête sur ma bite.

C'est une sensation jouissive de sentir ma bite massée de façon involontaire par les spasmes de la gorge de Fred. Il tente de pousser des petits cris étouffés, mais cette situation de domination doit quand même lui plaire car sa queue ne débande pas. J'essaye, de mon coté, de lui faire une gorge profonde pour lui faire ressentir les mêmes sensations que moi. Nous crachons tous les deux en même temps et je lui envoie encore une bonne giclée au fond de la gorge. Fred tente de retirer sa bouche de ma bite. Mais notre bizuteur veille et maintient la pression pour qu'il garde bien mon foutre dans sa bouche et l'oblige à avaler. Je goutte au foutre de Fred et j'aime bien le goût légèrement sucré. C'est la première fois que je suce un mec et que je goutte son sperme, mais j'aime bien l'expérience et nos bizuteurs n'ont pas besoin de me f o r c e r pour que j'avale son jus et que je lui nettoie bien la bite.

"Fred, il va falloir que tu sois un peu plus coopératif si tu veux t'intégrer parmi les internes du lycée," tel est le verdict d'un bizuteur.

Alors que Fred et moi restons attachés sur le lit, chacun avec la bite de l'autre dans la bouche, un des bizuteurs sort un petit plug. Fred, qui était sur moi, avait son petit cul offert. "On a une méthode efficace pour te rendre plus coopératif. À la fin de ton bizutage, c'est toi qui en redemandera." Ce message s'adressait à Fred. En même temps, un bizuteur commence à lui travailler le cul pour assouplir son anneau vierge. Fred tente de résister en se tortillant. Heureusement, sa verge est encore molle après son orgasme, autrement j'aurai dégusté. Il finit par lui introduire un doigt, puis deux. À chaque fois, Fred se contracte et je le sens se raidir tout contre moi. Cela m'excite et je recommence à bander. Comme il essaie de dégager sa bouche de ma bite pour ne pas avoir à avaler une nouvelle giclée de foutre, je remue mon bassin pour bien lui niquer sa petite gueule pendant qu'un bizuteur lui appuie sur la nuque. En même temps, un autre commence à appuyer le plug sur son trou du cul et finalement réussit à l'introduire bien a fond. En appuyant sur la base et en faisant des mouvements de rotation, il caresse sa prostate. Sa réaction n'est pas longue à arriver. Sa bite, qui a durci dans ma bouche, lâche plusieurs salves de sperme bien chaud et sucré. Je n'arrive pas à tout avaler assez vite et du foutre dégouline le long de mes lèvres qui enserrent sa bite. J'essaie néanmoins de bien la lui nettoyer et le suce avidement.

Nos bizuteurs nous abandonnent pour la nuit dans cette position en nous ayant s a n g lés au niveau des reins pour que nous ne puissions pas retirer nos bouches de nos bites. Fred a toujours son plug dans le cul.

Nous nous endormons tant bien que mal. Je suis réveillé à plusieurs reprises par la bite de Fred qui a gonflé sous l'effet d'un rêve érotique ou de l'excitation qu'a pu provoqué un changement de position du plug. Il jouit dans ma bouche sept fois durant la nuit. Je ne reste pas en reste et généralement, le fait de sentir son vît en érection dans ma bouche suffit à me faire bander. Je prends alors un malin plaisir à lui niquer la gueule pour éventuellement le réveiller et le faire participer activement à la séance. Tôt le matin, je découvre la sublime sensation d'être réveillé par une agréable chaleur sur mon gland et de douces caresses sur ma tige. Cela déclenche instantanément une érection puissante et une jouissance matinale abondante dont Fred se délecte. Je lui retourne la politesse et peux encore apprécier le plaisir de sucer sa bite pour mon petit-déjeuner. Nos bizuteurs entrent pour nous libérer. Ils apprécient le spectacle et se félicitent de l'efficacité de leur méthode de dressage sur ce puceau de Fred. "Préparez vous pour aller en cours ; nous continuerons votre bizutage ce soir !"

Le soir, effectivement, alors que Fred et moi nous nous étions couchés, nos bizuteurs débarquent une heure après l'extinction des feux. Ils nous emmènent à la salle de gym qui est au-dessous des chambres. Ils nous enlèvent nos caleçons puis ils font monter Fred sur l'élément haut d'un saut de cheval en bois qu'ils ont placé en-dessous des anneaux. Ils attachent les poignets de Fred aux anneaux et ses chevilles de chaque coté du saut de cheval. Fred est maintenant nu, bras et jambes écartés et solidement attachés. Un des bizuteurs s'agenouille derrière Fred et lui masse son trou du cul en mettant du gel en abondance. Ce spectacle m'excite et le fait de voir Fred ainsi offert me fait bander. Deux bizuteurs m'attachent de la même façon derrière lui : mon torse est plaqué contre son dos et ma bite bien bandée repose contre sa raie. Une main vient positionner mon gland contre son trou abondamment lubrifié, sans pour autant le faire pénétrer. Nous sommes tous les deux immobilisés l'un contre l'autre, avec les yeux bandés. J’appuie mon menton sur l'épaule gauche de Fred. Nos bizuteurs se sont écartés de nous. Nous attendons avec angoisse le sort qu'ils nous réservent.

Un fort claquement accompagne une douleur cinglante sur mes fesses. Par réflexe, je donne un v i o l ent coup de rein en avant, enculant par là même Fred avec v i o l ence. Ce dernier crie de douleur quand ma bite entre d'un seul coup de toute sa longueur dans son petit trou vierge. Il tente de se dégager en avançant son bassin, mais un nouveau coup de ceinture me fait plonger dans son cul avec la même b r u t a l i t é que la première fois. Je reçois comme cela douze coups et chaque fois j'ai l'impression de l'enculer un peu plus profondément en lui arrachant un cri un peu plus sauvage. Le douzième coup de ceinture me fait me raidir pour décharger tout mon foutre dans le cul vierge de mon copain.

Après que j'ai dépucelé le cul de Fred, ce dernier est détaché des anneaux et du saut de cheval. Je reste attaché, les bras en croix et les jambes écartées. Fred est amené devant moi, à environ un mètre, par deux bizuteurs qui le tiennent fermement et l'obligent à se mettre à quatre pattes. Une douzaine de bizuteurs se mettent en cercle autour de lui sans pour autant me cacher la vue. "Tu as aimé te prendre une bite dans le cul au point de te faire cracher ton jus. La suite de ton bizutage va être une partie de plaisir pour toi. Tu vas entrer dans l'univers du Kama-Sutra." Un des bizuteurs, doté d'un engin d'au moins 25 cm, bien large, s'agenouille derrière Fred et pose son gland sur sa rondelle que je viens de déflorer. Il lui met les mains sur les hanches et donne un v i o l ent coup de reins pour s'enfoncer d'un seul coup dans son cul. Celui-ci pousse un cri de douleur et des larmes coulent sur ses joues. Une fois bien au fond, le bizuteur reste quelques secondes immobile pour que le bizut s'habitue à son engin monstrueux, puis il commence des mouvements de va-et-vient. À chaque coup de boutoir, Fred pousse un cri de douleur et serre les dents. La douleur doit être trop forte car il ne bande plus.

Le bizuteur se contracte, ferme les yeux et donne un dernier coup de reins. Fred vient sûrement d'en prendre une bonne giclée dans le cul. Ce spectacle me fait bander. Ma bite attire l'attention de deux bizuteurs à côté de moi. L'un prend un petit martinet et commence à me donner quelques coups de lanières sur la bite sans réellement me fouetter. Ça m'excite un max. Les lanières du martinet me caressent le gland plus qu'elles ne le fouettent. Je suis prêt à exploser. L'autre bizuteur, qui est à poil comme tous les mecs dans la pièce, se met derrière mois et me travaille les seins. Lui aussi est excité par le double spectacle et je sens sa bite bien bandée contre mes fesses. Le salaud n'y va pas de main m o r t e sur mes tétons et il me fait vraiment mal. Je gémis de douleur. Les coups de martinet s'intensifient et je sens que la purée vient. Le tourmenteur de Fred a déculé et un filet de foutre coule du cul de Fred qui a du mal à se refermer. Mes cris ont fait tourner la tête de Fred vers moi. Il se redresse en restant à genoux et sa jolie petite gueule est à 20 cm de ma bite prête à décharger. Un dernier coup de martinet sur mon gland couplé à un pincement de seins plus intense me fait décharger une nouvelle fois sur la gueule de Fred. Ce dernier ouvre la bouche et avale ce qui tombe dedans. Un bizuteur met sa main derrière sa tête pour l'obliger à me nettoyer la bite. Mais il n'a pas beaucoup de résistance et sans se traitement Fred m'aurait probablement sucé la bite.

Un autre bizuteur s'agenouille au milieu du cercle, assis sur ses talons, cuisses bien écartées. Deux bizuteurs prennent Fred par les bras et l'agenouillent entre les cuisses du gars qui s'appuie sur ses mains posées en arrière. Sa bite bandée du spectacle précédent se dresse fièrement. Un des deux escorteurs lui prend la bite pour la positionner sur l’œillet de Fred tandis que l'autre oblige le bizut à s'empaler sur la queue en lui appuyant sur les épaules. Ça entre tout seul et Fred pousse de petits gémissements. Un frissonnement, accompagné d'un gémissement plus accentué, laisse penser que cette nouvelle bite lui caresse la prostate. La bite de Fred recommence à durcir. Il se laisse aller en arrière et son dos vient toucher le torse de son enculeur. Ce beau spectacle met en valeur sa bite qui est maintenant bien dressée. Son enculeur fait de petits mouvements de bassins avec beaucoup de délicatesse. Cela dure au moins 15 mn et on a l'impression qu'il veut faire exploser Fred de plaisir. Il repose sa tête sur l'épaule de celui qu'il encule avec tendresse. Il cherche ses lèvres et ils s'embrassent. Le bizuteur caresse la bite de Fred et le masturbe sans pour autant arrêter les va-et-vient dans son cul. Ils déchargent en même temps et restent collés l'un à l'autre en s'embrassant.

Un mec s'allonge maintenant à coté du couple et se branle pour bien faire durcir sa bite. Deux bizuteurs prennent Fred, encore tout étourdi du plaisir qu'il vient d'avoir, sous les aisselles et l'empalent sur cette bite dressée. Il est dos à son empaleur et je peux bien observer sa grimace de douleur lorsque les 18 cm sont en entier dans son cul qui, quelques heures auparavant, refusait toute intromission. Ses deux gardes du corps le font alors s'allonger sur le ventre du mec qui le prend. Un troisième s'agenouille entre les cuisses du bizuteur qui maintient les jambes de Fred bien écartées. Il appuie alors sa bite sur la bite de son copain pour la faire aussi entrer dans le cul de Fred. Ce dernier est toujours maintenu par deux bizuteurs et il gueule : "Non ! Non, je ne peux pas, non, pas deux bites ! Vous allez m'éclater le cul ! Ça fait trop mal ! " Mais les deux bites rentrent tout de même et le dernier arrivé commence à lui défoncer le cul sans tenir compte de ses cris.

Il le baise comme un clébard avec des mouvements rapides des reins en veillant bien à aller aussi loin que ce qu'autorise deux bites dans le cul d'un mec. Fred crie et pleure. Sa bite débandée ballote à chaque coup de boutoir. Les deux enculeurs finissent par jouir en même temps, mettant fin au supplice de Fred.

Après cela, Fred se fait prendre sur le dos, jambes relevées, puis jambes écartées, debout penché en avant, et enfin simplement debout en se faisant travailler les seins. Après s'être fait dépucelé, Fred s'est pris dans le cul six bites différentes en plus de la mienne. Je suis détaché. Le lendemain soir, c'est moi qui serai attaché devant et Fred derrière.

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